Il contient plusieurs courts articles d'information traitant de divers aspects de l'islam. En islam le mariage n'est pas un sacrement, c'est un contrat verbal (qui peut également être écrit). On peut à ce sujet avoir recours à des chants ne contredisant aucun principe de l'islam, à de la musique de tambourin. Rêver de se marier indique que vous serez confronté à une décision difficile très bientôt et vous devrez vous décider rapidement. ", Il se peut également (même si ce n'est pas obligatoire, comme nous allons le voir) que ce soit un imam qui les marie. Nous allons voir ensemble, ci-après, la façon de procéder pour le "nikâh" / "fâtiha". PLUS D'INFOS Je m’appelle Ayman, converti à l’Islam en 2004, j’avais alors 14 ans. S'il n'est bien sûr pas interdit de faire un "nikâh" – ou "fâtiha" – dans la mosquée, cela ne fait donc pas non plus l'objet d'une obligation. Une kyrielle de personnes, de la part du garçon, se déplace à la maison de la fille, conduite sous la bénédiction du Maolana. Il faut aussi veiller à ne pas déranger les voisins par du bruit intempestif, conformément aux Hadîths bien connus du Prophète demandant aux musulmans de ne jamais causer du tort à leurs voisins. 35-45 – Al-mar'a bayn al-fiqh wal-qânûn, pp.67-70 – Fatâwâ mu'assira, tome 3 pp. Ou bien les deux personnes elles-mêmes font verbalement le contrat d'accepter de vivre ensemble comme mari et femme, avec l'accord du responsable (d'après ceux des savants qui pensent que l'accord de celui-ci suffit). et à la jeune femme : "Acceptes-tu de prendre comme époux M. Untel, le montant du douaire étant fixé à tant ? Quels sont les critères pour choisir son conjoint ? Il est sacré, c'est vrai, mais tout est sacré en islam du moment que cela est fait dans le cadre de ce que l'islam permet et avec le souvenir de la Présence de Dieu. le mariage en islam n'est pas un sacrement, c'est un contrat verbal (qui peut également être écrit) Il n'est pas besoin d'un imam ou d'un cheikh pour obtenir la bénédiction, car celui-ci n'est ni un représentant de Dieu ni Son intermédiaire pour les autres croyants. Le tout est que, ce faisant, on ne contredise aucun principe de l'islam. Avant toute chose il faut vérifier chez les futurs époux qu’il n’y a pas de raisons pouvant empêcher la validité du mariage comme l’état de Mahram* dû à la parenté ou à l’allaitement. L’islam encourage le mariage et interdit les relations prémaritales et extra maritales. 2) Accord de l'homme, de la femme et du représentant de celle-ci. Comment se célèbre donc le mariage religieux en islam ? Devenir membre : inscription     Espace membre : connexion. Mari et femme devront alors respecter ensuite ces conditions. En plus de ce degré minimal, le mieux est que le mariage soit également annoncé aux proches, aux amis, bref aux gens dans la mesure du possible. Aujourd’hui j’ai 35 … Certains savants (dont Shâh Waliyyullâh) sont toutefois d'avis que ce repas peut avoir lieu aussi bien après les noces qu'après la cérémonie du mariage elle-même (Hujjatullâh il-bâligha, tome 2 – Fat'h ul-bârî, tome 9 p. 287 – Fiqh us-sunna, tome 2 p. 495). 59-61). Il est sacré, c'est vrai, mais tout est sacré en islam du moment que cela est fait dans le cadre de ce que l'islam permet et avec le souvenir de la Présence de Dieu. La gravité des relations hors mariage ou la fornication en Islam La "zinâ" a tragiquement pris une position critique au sein de la Oumma. Sur la meilleure part pré-destinée" (rapporté par Al-Bukhârî). La concrétisation des points 2 et 3 peut se faire de plusieurs manières, pourvu que l'accord de chacun soit exprimé. A l'époque du Prophète, à Médine, où la situation financière de nombreux musulmans était très modeste, Aïcha possédait une robe que la femme qui allait se marier lui empruntait pour ses noces (rapporté par al-Bukhârî). Cependant, il est faux de croire que le "nikâh" / "fâtiha" n'est pas valable ou est de moindre valeur s'il n'a pas été fait par un imam. C'est ce qu'ont fait des Ansarites lors du mariage de 'Alî et de Fâtima (Adâb uz-zafâf, p. 101). Il est vrai qu'il est arrivé que ce soit le Prophète qui a marié des personnes, comme dans le récit de la femme venue se proposer en mariage (rapporté par al-Bukhârî), comme dans un autre récit (rapporté par Abû Dâoûd, n° 1857, 1858). Y a-t-il en islam des principes particuliers pour la nuit de noces ? Le mariage, en Islam, a des règles que tout musulman doit suivre et veiller à les observer. Dieu observe ce que vous faites" [Coran 4/1]. Le degré minimal de cette annonce est la présence d'au moins deux témoins musulmans lorsque les parties voulues concluent l'acte de mariage (le contrat verbal cité plus haut). Lorsqu'elle revint, le Prophète lui demanda : "N'avez-vous pas organisé un divertissement ? 2- Le mariage valide et conforme à la charia. Par le douaire, l'homme témoigne de son affection pour la femme avec qui il se marie (c'est un présent) ; il témoigne aussi de son engagement dans cette relation (qui n'est pas temporaire mais perpétuelle) ; enfin il montre, en donnant ce présent, qu'il va, conformément à ce que dit l'islam, continuer à dépenser de ses biens pour subvenir aux besoins de la femme qu'il épouse (cf. Le Prophète lui-même n'a offert comme repas nuptiaux que ce qu'il pouvait (par exemple lorsqu'il s'est marié avec Safiyya, ou avec Zaynab). - la condition qui touche un des droits d'une autre personne que le mari et sa femme ("Je t'accepte comme époux à condition que tu divorces de ton autre épouse"). Uthmân ibn 'Affân face aux épreuves, que Dieu l'agrée, Les événements du Jour du Jugement (2/3) (complément). Le nouveau marié offre un repas appelé en arabe "walîma" (également appelé "ta'âm ul-'urs"). Le mieux est que le montant du douaire soit également précisé lorsque les deux personnes expriment leur volonté de vivre ensemble dans ce contrat verbal (Fat'h ul-bârî, tome 9 p. 264). Cependant, les Compagnons n'ont pas systématiquement eu recours au Prophète pour célébrer leur mariage, comme le montre le mariage de 'Abd ur-Rahmân ibn 'Awf (rapporté par al-Bukhârî). Mariage sceller sous la grossesse islam ''est-il permis de sceller un mariage musulman où la mariée porte une grossesse ?'' Ou bien les deux personnes elles-mêmes font verbalement le contrat d'accepter de vivre ensemble comme mari et femme, avec l'accord du responsable (d'après ceux des savants qui pensent que l'accord de celui-ci suffit). Il dit par exemple au responsable (walî) : "Donnes-tu la main de ta fille en mariage à M. Untel, le montant du douaire étant fixé à tant ?" Le tout, cependant, est que cela soit fait sans ostentation et sans désir de paraître dans la société (Fat'h ul-bârî, tome 9 p. 301). Par contre, si ces deux personnes se marient sans s'être mises d'accord sur le montant du douaire (ni avant le contrat verbal ni lors de ce contrat), alors la femme aura droit, comme douaire, à la moyenne de ce que se voient offrir les femmes de sa famille lors de leur mariage (Fat'h ul-bârî, tome 9 p. 264). Faisant ainsi on exprime sa joie de même qu'on contribue à annoncer le mariage. Rien n'empêche cependant des gens d'offrir de leur plein gré de participer aux frais du repas. Le Prophète a enseigné de réciter, avant toute chose importante – mariage ou autre –, la formule suivante : "Louange à Dieu. Tout ceci est contraire à l'enseignement (Sunna) du Prophète. Il ne faudrait pas oublier qu'il n'y a pas de clergé en islam, et que n'importe quel musulman peut faire un "nikâh" / "fâtiha" (avec l'accord du responsable (walî) de la femme bien entendu). Ces deux personnes se seront également, au préalable, mises d'accord sur un montant précis (douaire, "mahr"), que le mari devra donner à sa femme. Mais je dois rappeler qu'en islam, tout acte se fait devant Dieu, qu'il s'agisse d'un acte appelé en français "religieux" ou qu'il s'agisse d'un acte appelé "civil". enfiiiiiiiiin un sujet sérieux du halal dans les relation homme femme dans l islam qu est le mariage :-D Marocain33 a écrit : Voila j'ai un ptit prob, je ne sais pas comment faire pour demander la main d'une marocaine, ya des regles a respecter je crois et comme c'est ma premiere demande et j'espere la derniere, c un peu chaud pour moi: Le Prophète a enseigné de réciter, avant toute chose importante – mariage ou autre –, la formule suivante : "Louange à Dieu. En fait, la répudiation peut être regardée comme une pilule désagréable et amère qu'on ne doit prendre qu'en cas de nécessité absolue. L'intermédiaire entre Dieu et l'homme est le cœur de ce dernier, mais il faut, pour obtenir la bénédiction divine, également tenir compte du cadre que l'islam permet. Voici quelques-unes de ces possibilités : Le responsable (walî) de la femme marie l'homme et la femme en leur demandant à chacun s'ils sont d'accord pour vivre ensemble comme mari et femme, rappelle le montant du douaire, les éventuelles conditions du contrat, etc. En islam le mariage n'est pas un sacrement, c'est un contrat verbal (qui peut également être écrit). En effet, le Prophète épousa ‘Aïcha, , alors que celle-ci était petite, mais ne consomma son mariage avec elle qu’une fois qu’elle eut atteint l’âge de la puberté. ABONNE-TOI : Nouvelle vidéo le mardi, jeudi et samedi à 7h. C'est bien une des raisons pour lesquelles le Prophète a recommandé chants et musique après l'acte de mariage. Fatâwâ mu'âsira, tome 2 pp. Des femmes dirent ceci à Aïcha lors de son mariage avec le Prophète : "Sur le bien et la bénédiction ! Cependant, il est faux de croire que le "nikâh" / "fâtiha" n'est pas valable ou est de moindre valeur s'il n'a pas été fait par un imam. PLUS D'INFOS Je m’appelle Ayman, converti à l’Islam en 2004, j’avais alors 14 ans. Ce que vous nommez un "mariage religieux" est connu chez les musulmanes et les musulmans sous le nom de "fâtiha" ou de "nikâh", d'après quelques-un des différents noms qui lui sont donnés dans différentes communautés musulmanes du monde. Il a, de ces deux (personnes), disséminé beaucoup d'hommes et de femmes. C'est ce préambule que le Prophète recommandait de réciter (rapporté par de nombreux ouvrages de Hadîths, voir Khutbat ul-hâja). Et si ces deux personnes s'étaient mises d'accord au préalable à propos d'un montant mais ne rappellent pas ce montant du douaire au moment de conclure le contrat de mariage, cela est aussi valable et c'est ce montant que le mari devra donner à son épouse. Il ne faut pas que le douaire soit trop élevé, ni qu'il soit insignifiant. C’est le cas de Khansaa Bint Khidam qui s’est plaint d’avoir été mariée par son père contre son gré et dont le prophète a annulé le mariage… Conditions d'un mariage en Islam. Sans cette "annonce" minimum que constitue la présence d'au moins deux témoins au moment de l'acte de mariage, le mariage n'est pas valide (d'après la majorité des savants). (Voir Islâm aur jadîd mu'âsharatî massâ'ïl, pp. Quelques années plus tard, Aïcha, elle, utilisa cette formule pour le Prophète lors du mariage de celui-ci avec Zaynab : "Que Dieu t'accorde sa bénédiction à propos de ta famille, ô Envoyé de Dieu" (rapporté par al-Bukhârî). 343-345). Le nikah est la cérémonie traditionnelle du mariage islamique. Et je témoigne que Muhammad est son serviteur et son messager." Umm Sulaym offrit ainsi au Prophète quelque chose lors de son mariage avec Zaynab (rapporté par Al-Bukhârî). Et celui qui suit ce que Dieu et son Prophète (ont dit), celui-là a réussi d'un énorme succès" [Coran 70-71]. Les proches et les amis prononcent des prières de bénédiction à l'intention des nouveaux mariés quand ils les rencontrent ou apprennent qu'ils se sont mariés. Le mariage ne doit pas être gardé secret mais annoncé. Il y a eu comme exemples de douaires donnés par des Compagnons à leur épouse : une cotte de maille ('Alî), quinze grammes d'or ('Abd ur-Rahmân ibn 'Awf), cent soixante pièces d'argent (un Compagnon), un verger entier (Thâbit ibn Qays), etc. Est-il interdit à la femme de se marier seule en islam ? Les avis sont partagés à ce sujet entre les savants : voir mon article Est-il interdit à la femme de se marier seule en islam ? 80-81). Il y a eu comme exemples de douaires donnés par des Compagnons à leur épouse : une cotte de maille ('Alî), quinze grammes d'or ('Abd ur-Rahmân ibn 'Awf), cent soixante pièces d'argent (un Compagnon), un verger entier (Thâbit ibn Qays), etc. Ils ont aussi fixé des droits conjugaux qui, de fait, se substituent aux devoirs conjugaux. Au contraire, parfois on y aura recours parce qu'on vit dans une région où, à part les imams des mosquées, les musulmans ont très peu de connaissances à propos de l'islam. Car s'il s'agissait d'une cause d'honneur dans ce monde ou de piété auprès de Dieu, le Prophète l'aurait le plus mérité. Ensuite, l'homme et la femme qui vont se marier expriment (devant au moins deux témoins, nous allons y revenir), leur engagement à vivre comme mari et femme. C'est bien une des raisons pour lesquelles le Prophète a recommandé chants et musique après l'acte de mariage. Récemment, la Tunisie a rompu le consensus islamique et exposé sur la place publique lhypocrite tabou obligeant lhomme voulant épouser une musulmane à se convertir à lIslam ou, autrement formulé, interdisant à un… Il est tout aussi incompréhensible que les proches et/ou les amis du marié exercent une sorte de pression pour qu'il fasse un repas grandiose, en exigeant d'être invité ou en critiquant à tour de bras la simplicité du repas nuptial. Une femme était ainsi venue se proposer en mariage au Prophète (sur lui la paix), mais celui-ci ne se maria finalement pas avec elle (rapporté par al-Bukhârî). Que dit lIslam Pour lIslam, qui sur ce point est fidèle au judaïsme et au christianisme, le mariage est lunique institution légale rendant les rapports sexuels licites. Dieu vous observe" [Coran 4/1]. Tout ceci est contraire à l'enseignement (Sunna) du Prophète. Les termes cités ici peuvent changer, ce qui importe étant que le mariage soit conclu avec l'expression de l'accord de toutes les parties voulues. Le Prophète lui-même n'a offert comme repas nuptiaux que ce qu'il pouvait (par exemple lorsqu'il s'est marié avec Safiyya, ou avec Zaynab). Le Prophète a offert ce genre de repas après les noces (après son mariage avec Safiyya, ou avec Zaynab, par exemple). 59-61). Comment se célèbre donc le mariage religieux en islam ? Le Prophète a offert ce genre de repas après les noces (après son mariage avec Safiyya, ou avec Zaynab, par exemple). Le Prophète lui-même s'est marié en offrant des douaires allant de quatre cents pièces d'argent (rapporté par an-Nassâ'ï) à cinq cents pièces d'argent (rapporté par Muslim). C'est vrai. Les proches et les amis prononcent des prières de bénédiction à l'intention des nouveaux mariés quand ils les rencontrent ou apprennent qu'ils se sont mariés. "Les conditions qui méritent le plus d'être appliquées sont celles qui ont été faites lors de ce qui a rendu licite les relations intimes [= le mariage]" (rapporté par al-Bukhârî). Lorsqu'elle revint, le Prophète lui demanda : "N'avez-vous pas organisé un divertissement ? 3') Eventuelles conditions additives au contrat de mariage, Si les deux personnes s'étaient aussi mises d'accord sur des conditions à propos de leur vie conjugale, elles les énonceront également lors de la conclusion du mariage. Il dit par exemple au jeune homme : "Acceptes-tu de prendre comme épouse Mlle Untel, le montant du douaire étant fixé à tant ?" Il est en effet incompréhensible que, comme cela se fait dans certaines sociétés, on s'endette pour faire un repas grandiose et au-dessus de ses capacités financières, ceci juste pour paraître dans la société et /ou pour respecter la tradition ancestrale. Après l'acte de mariage (ou quelque temps après, en fonction des possibilités offertes par le lieu où a eu lieu l'acte), on peut avoir recours à des chants autorisés, à de la musique autorisée (c'est-à-dire au tambourin). Naka Laniouy Takké Seuy La procédure de demande en mariage est un acte essentiel car s'il n'est pas fait selon les normes islamiques, il peut générer une situation illégale. Il est sacré, c'est vrai, mais tout est sacré en islam du moment que cela est fait dans le cadre de ce que l'islam permet et avec le souvenir de la Présence de Dieu. Mariage en islam : les indispensables ; les variantes Le cœur du mariage musulman (« roukn »), c’est le consentement des époux. Faisant ainsi on exprime sa joie de même qu'on contribue à annoncer le mariage. Sans cette "annonce" minimum que constitue la présence d'au moins deux témoins au moment de l'acte de mariage, le mariage n'est pas valide (d'après la majorité des savants). Le mieux est que le montant du douaire soit également précisé lorsque les deux personnes expriment leur volonté de vivre ensemble dans ce contrat verbal (Fat'h ul-bârî, tome 9 p. 264). L'intermédiaire entre Dieu et l'homme est le cœur de ce dernier, mais il faut, pour obtenir la bénédiction divine, également tenir compte du cadre que Dieu a institué. Or il arrive qu'un homme élève excessivement le montant du douaire de sa femme, au point qu'ensuite il se mette à la détester en son cœur et à dire "On me demande jusqu'au fil qui attache l'outre" (rapporté par An-Nassaï). - la condition qui contredit une règle formelle de l'islam (comme par exemple dire "Nous nous marions, mais à condition que chacun laisse à l'autre la possibilité de lui être infidèle"), Mais il n'est pas non plus interdit de faire faire son "nikâh" / "fâtiha" par l'imam de la mosquée. Or ni lui n'a offert comme douaire à l'une de ses femmes ni l'une de ses filles ne s'est vue offrir en douaire un montant supérieur à quatre cent quatre-vingt pièces d'argent. Celui que Dieu guide, personne ne peut l'égarer. 293.). La "bénédiction" est dès lors effective, et il n'est pas besoin d'un imam ou d'un cheikh pour obtenir la bénédiction, car celui-ci n'est ni un représentant de Dieu ni Son intermédiaire pour les autres croyants. Ce Hadîth dit-il qu'il est nécessaire que le responsable soit présent au moment du mariage et donne son accord, ou bien exprime-t-il que ce qui est nécessaire, c'est que la femme qui va se marier ait eu l'accord de ce responsable, celui-ci fût-il absent au moment du mariage ? (Voir Islâm aur jadîd mu'âsharatî massâ'ïl, pp. Notez que c'est là la façon complète de faire. De même, si lors du contrat elles se sont mariées avec comme condition que l'homme ne donnera pas de douaire à sa femme, cette condition est nulle, le mariage reste valable et la femme recevra en douaire la moyenne de ce qu'ont reçu les femmes de sa famille.

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